Moi, Azaroth dit "le fourbe", déclare que mon Chafer est pour moi, une arme redoutable ! Oui, je le dis bien, redoutable, non parce qu'il est sot et frappe ses alliers mais bien car grâce à lui je vis encore aujourd'hui.
(Ceci est une véritable histoire, vécu par Azaroth dit "le fourbe")
Vers les coups de minuit, j'ai rencontré une disciple de Sram (Je ne dis pas son nom, on ne sait jamais) orienté vers l'élément de la terre. Après qu'elle m'est offert ses conseils sur Azara la vil grande bijoutière et que je lui rendis son service, nous sommes allés tout deux combattre des corbacs accompagnés de forgerons, boulangers et mineurs sombres.
Après deux combats gagnés sans grande frayeur, nous nous sommes attaqués à un groupe de trois corbacs, un boulanger, un mineur et trois forgerons sombres. Du haut de son 86éme cercle de puissance, elle massacra deux forgerons sombres avant de sombrer dans un coma suite à ses blessures. Je ne puis vous dire ce qui se passa vraiment car je fus très occupé par mes propres assaillants, oui assaillants je les nomme car de chasseurs nous étions passés proies. Alors que mon double tentait vainement de retenir le dernier forgeron sombre, le boulanger et un corbac, j'eu le temps de tuer l'avant-dernier corbac. Il ne resta alors plus qu'un corbac vigoureux, un forgeron qui n'était pas encore intervenu dans la mêlée et un boulanger intact.
Hélas mon double succomba à ses blessures. Je me retrouva donc seul et qui plus est dans un coin sans issu. Alors que je me débattais avec acharnement, je me vis perdre la plus grande partie de ma force vital, il ne me resta plus que le strict minimum pour tenir debout (c'est-à-dire 1pv). Presque désespéré, désemparé, voyant le dernier assaut venir, je me concentra pour rassembler mes esprits deux secondes. Ensuite, je fis deux pas en arrière et j'invoqua mon fidèle chaferfu. Cliquetant avec ses ossements et les mailles de sa cotte de fer rouillée, mon chafer apparut là devant moi, brandissant son vieux sabre rouillé comme lançant un défi à mes agressés devenu agresseurs. Empoignant fermement la pommeau de son sabre il embrocha le boulanger ! Agonisant et à bout de souffle, il fut pourtant tenace mais mon chafer finit par avoir sa tête au bout de trois coups. Pendant ce temps, le forgeron approcha et alors qu'il tenta de dépasser mon chafer, ce dernier lui fit un croc-en-jambe une seconde après qu'il eut lâché son deuxième coup sur le boulanger. Tentant de me concentrer à nouveau, je mit à profit le temps que le forgeron à mit pour se relever, pour augmenter la force de mes bras. Alors que le forgeron releva péniblement la tête avant de reprendre sa route, il me vit devant lui, tenant mes dagues avec ténacité. D'un coup, je lui trancha net son bras gauche qui portait son marteau et avec toute l'agilité d'un Sram, j'enchaîna un coup d'estoc vers sa tête. Pourtant protégé d'un solide masque, je fut à même de transpercé son crâne et le forgeron sombra dans le néant (vive les coups critiques). A peine ais-j eu le temps de me remettre de mes émotions que l'esprit perfi... guerrier, de la bataille s'empara à nouveau de moi. Les bruits de combat de mon chafer et du dernier corbac atteignirent mes oreilles. Mon chafer était en train de perdre son avantage sur le corbac quand je m'élança vers eux. Le corbac était enragé comme un croc gland et déchiquetait les restes de l'armure de mon fidèle chafer. Sans comprendre vraiment ce qu'il se passa, lorsque j'entrepris de fureter dans le dos du corbac, je trébucha sur une tortue aussi invisible qu'imaginaire. Je me rattrapa à temps pour voir mon chafer embrocher avec un os de son bras, le misérable corbac comme on l'aurait fait d'une olive avec un cure-dent.
(Histoire déroulé le 29éme jour du mois de Martolo de l'an 637)
Aujourd'hui, je remercie mon Chafer de m'avoir si fidèlement et convenablement servit en espérant que cela continue durant encore bien longtemps.