One-shoot

Bon je suis lancé a la donner a tout le monde
Voici ma one-shoot:

La nuit glaciale tombait sur la ville illuminée par les maisons, les lampadaires et les voitures. Le silence pesant faisait régner la peur dans le petit parc. Les feuilles frémissaient dans les arbres, le portail mal fermé claquait, et un bruit inhabituel retentissait à cette heure, un bruit de pas. Une silhouette avançait lentement sur le chemin qui menait à un petit lac. L’eau ruisselait, le bruit des grenouilles annonçait la saison des amours, quelques animaux venaient boire. La silhouette apparut à la lumière de la lune. C’étais une femme, habillait tout de noir, le visage aussi pâle que la lune. Ces yeux bleu claire étincelaient, sa bouche aux lèvres mince laissait voir un rictus de tristesse. Les larmes coulaient lentement sur son visage et s’écrasaient au sol sans un bruit. Elle réfléchissait, elle voulait se rappeler en détail ce qui c’étais passé. Son enfant, son sourire, il s’amusait, elle le regardait. Soudain, une amie l’interpella. Elle courut lui dire bonjour. Dix secondes, dix secondes c’était écoulé. Et lorsqu’elle ce retourna pour aller chercher son fils, il avait disparu. Pendant des jours, des semaines, des mois, il avait été recherché. Et quand il fut retrouvé, il était mort. Les conclusions du décès furent la mort par l’empoisonnement. Jamais elle n’oublierait le visage de son fils, mort, à la morgue. Après s’être effondrée au sol en larmes, elle pensa a ce qu’elle était venu faire, sur le lieu de l’enlèvement de son fils, retrouvé mort 1 mois auparavant.
Elle sortit une arme de son sac. Elle colla le bout de l’arme contre sa tempe. Elle ne pouvait plus vivre sans son fils. C’étais la seul chose qui lui avait permis de survivre. Elle inspira un grand coup et appuya sur la détente. Le lendemain, un jeune homme découvrit le corps, appela la police et on conclut au suicide. Son corps fut enterré prêt de celui de son fils, a coté de la mare, pour rappeler aux gens à quoi pouvais mener le chagrin, et rappeler aux gens d’être prudent avec les personnes qu’ils aiment.