Nom du personnage : Sorrow-Saniata
Classe du personnage et son level : Sramette de level 63
Alignement : Brakmarien grade 4/5 (varie fréquemment)
Equipements du personnage :
- Pour le combat : Minotokorno, Coq Hu, Vegamu (bientôt l’amulette Aerdala a prioris…), ceinture terrdala, kwakanneau terre (T T’) et scaranneau terre …
- Pour l’xp : Panoplis prespic, amulette de la boule, et emprunt d’un dofus cawotte
- [Ne possède pas de panoplie pour le drop]
Ancienne guilde : Le clan d’Enharr, une guilde où une bonne ambiance règne, mais je me suis senti exclue par le fait qu’ils ne se cottoyent que par liens de connaissances, et très peu tentent d’apprendre à connaître les nouveaux.
Motivations : Cette guilde m’a l’air f’avoir de bonnes bases pour le meilleur fonctionnement possible (ça se voit rien que dans les candidatures ^^) et que l’ambiance semble être bonne. [Niak, et il y a Thithi =)] xD
Je pense que c’est une bonne guilde où les membres s’entraident mutuellement selon leurs capacités.
Présentation de la joueuse : Hum … Ca j’aime pas =)
Alors, je suis une demoiselle de 18 ans, qui se nomme Ania… J’habite, déjà en France, dans le massif central (coupée du monde, pauvre fille’) Hum… Je travaille, car mes études coûtaient chères >< hum … Je joue a Dofus quasiment tous les jours et minimum 3h en semaine, et la journée souvent pendant les week-end.
Brefeuuh, Role play powaa !
Présentation du personnage :
La vie n’est pas de rose vêtu, d’ailleurs, plus vous la représenterais de sombre couleur, plus vous vous rapprocherez de la réalité. C’est ainsi que moi, je la représenterai d’un noir aussi sombre que la nuit, et aussi petite qu’un grain de sable, car la vie ne tient que sur un fil dit-on…
Aujourd’hui il pleut, mon regard se perd entre les innombrables gouttes d’eau. Ma main tremble, je ne veux pas rester, ni affronter la vie en face, elle est si ennuyeuse… Le monde est calme et la place vide, moi, je suis assise sur un banc de bois trempé, laissant couler les larmes du ciel sur son pal visage sans couleur… Le ciel est plus noir que les entrailles de la terre, mais mes yeux le sont bien plus, comme si l’obscurité faisait partie de moi… J’ai mal… Regardez la pluie m’insupporte, me torture… Mais je ne bouge pas, telle une sacrieuse je souffre, en silence et sans regret, je reste là, sans bouger, a me murmurer ma stupidité… Je n’en étais pas là avant…
Pourquoi est-ce que je vis dans un monde si sombre ? Est-ce une permanente paranoïa ? Je ne crois pas… Mais qu’est-ce donc ? Je ne sais pas… Il était pourtant un temps ou ma vie semblait simple…
A ma naissance, ma mère décéda, funèbre cadeau d’arriver dans ce monde, pourquoi dès cet instant s’est-on acharné sur mon sort ? Du fait de sa mort, je fut vite prise comme un présage de mauvais augure pour ma famille très croyante et ayant une fois sans pareil dans le culte du dieu sram… Peut-être le prenaient-ils pour le bon samaritain ce bon dieu sram, ah ah ah, mais quelle naïveté ! Déjà, dès ma naissance je fut abandonné dans la contrée sombre de Sidimote, je n’ai jamais vu de ciel bleu, tout était e noir et de rouge, de créature horrible et de cris hostile, rien d’agréable, rien d’amusant. Je n’étais encore qu’un poupon de porcelaine, quand ils me lâchèrent au milieu de mineur maudits, des loups et des corbeaux qui vous crèvent les yeux a grands coups de bec. J’en frissonne rien qu’à l’idée. Ce jour là, il pleuvait, des torrent d’eau, et moi j’étais la, fragile et enfantine a ne pas comprendre pourquoi tout cela. J’avais froid, je tremblais et frissonnais, mais personne n’est venu me chercher. Que le ciel fut dur avec moi ! Plutôt que d’abréger d’une mort ma souffrance, non, il l’a fit durer, et je survécue. Mais pourquoi et comment ? Je ne saurais l’expliquer. Le lendemain, frigorifiée par le froid, je ne pouvais bouger mes petits membres, et là, miracle ! Une jeune femme passait par la, dagues à la ceinture, grand chapeau cachant son visage, et longue cape noire. Elle passa a coté de moi, et me regarda avec un sourire non rassurant… J’étais trop jeune pour m’inquiéter, elle m’emporta avec elle, je voyais au loin, derrière les corbeaux, les mineurs et autres créatures, le contour fin d’une longue muraille. Je devais croire au miracle, mais en était-ce un ? Et si le ciel n’avait fait que me pourrir la vie ? Je ne sais point… Me voila embarquer avec une femme sadique et inquiétante dans une ville rouge et sinistre… Me voila à Brakmar…
L’atmosphère lourde et pesante me bloquait la respiration, j’entendais des cris, venait de la milice, ou se trouvait la salle d’interrogatoire des prisonniers bontariens. Une impression folle d’insécurité me fit trembler comme une feuiller morte sous le souffle du vent. J’avais peur de tout ça… J’aurais voulu me lever sur mes petites pattes et courir, mai dieu sait que c’est impossible ! Sram n’a pas était clément avec moi ! Pourquoi cette punition ? Voulait-il que je revive le calvaire qu’a été sa vie ? Pourquoi moi ?
La jeune femme partit dans une taverne et s’enchaîna les bières… La serveuse me regardait de haut avec un sourire qui lui, fut sympathique. Mais pourquoi ne suis-je pas restée la ?! Nous voila repartit… Elle me mène, elle me traîne… J’entends les cris raisonner dans ma petite tête, ça y est, nous voila à la milice. En une fraction de seconde elle me jeta dans les bras d’un inconnu et disparut… Mais que faisais-je là ?
Il s’appelait Oto… Et ce nom, je m’en souviendrais toute ma vie ! Il me l’a changé certes ! Mais pas totalement en bien, me voila à deux jours de ma naissance, déjà esclave de Brakmar…
J’ai toujours froid, un courant d’air passerait-il en permanence derrière moi ? Je n’agonise plus, je suis habitué à ses tensions, il fait déjà 15 ans que je suis larbin, esclave de Brakmar et d’Oto ! Déjà, les ailes m’en sont poussées à la longue des coups de fouets, mais celle-ci était loin de me faire sembler à un ange. Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais honte, je me suis trouvé une longue cape à capuche, et ne l’ai jamais posée. Je me cache désespérément de la personne que je suis. Mais… Brakmar ne peut que vous dégrader l’esprit, de là, je suis devenue sournoise, vile, fouineuse et un peu trop voleuse… C’est pour ça qu’avec moi, j’ai les dagues de la jeune femme qui m’a emmené dans ce trou à rats ! Je lui ai volé alors qu’elle se saouler, elle ne l’a jamais remarqué ! Je veux partir…
Je vole, je tue, je braque, tout cela pour les intérêts de Brakmar, brakmar et brakmar ! Mais que fais-je pour moi ? Nada ! Je continue mes scènes répétitives du quotidien, entre deux soupirs.
Quatre ans plus tard, j’ai passé l’age majeur, je veux partir ! Tiens donc, Oto au bout de 19 ans me fait enfin confiance, je suis libre ! Je pars a toute vitesse de ce sinistre lieu ! Je sors, quel temps fait-il ? Il pleut… Cette pluie qui me rappelle de terribles souvenirs. Je cours, a travers les mineurs, toujours présent, et les corbeaux qui volent en voyant mon arrivé. Je cours, je fuis, je veux partir ! Pour rien au monde je ne resterais…
Malheureusement, je reste ce que l’on m’a fait devenir… Je suis toujours aussi vile, sournoise, voleuse et quelques peu impulsive, je sors vite la dague… Je suis banni, rejeté de la populace… En faite, j’étais bien à Brakmar… A partir de là, je me suis ennuyée, et j’ai réfléchis sur le pourquoi de ma vie…
Me voila donc assise, dagues en mains sous la pluie, assise sur un banc de bois mouillé, à vous raconter ma vie, sans aucune arrière pensé, je vous refuserez toute pitié, n’ai-je peut-être eu que ce que je méritais ? Alors sans broncher, je vais vous laisser, j’ai d’autre gens a kidnapper, certains a juste dépouiller, ma lame me démange, je ne peu plus patienté, j’ai trop longtemps philosopher sous cette pluie qui m’énerve, qui m’insupporte. Je respire longtemps, me relève lentement, et empoigne du col la première personne qui passe…
A quoi bon philosopher, nous sommes tel que personne ne se refait.
[Bon, le RP, pas toujours ma tasse de thé :s]